L'oeuvre de CHS représente un ensemble immense de toiles et d'aquarelles, mais chaque tableau est unique et reste en mémoire, comme s'il avait une personnalité propre. L'association CHS s'est donnée comme tâche de faire connaître cette oeuvre et de la rendre visible. Expositions, performances, articles et textes critiques donnent à voir des aspects particuliers du travail de CHS, comme autant de petites portes entrouvertes sur l'immense atelier d'images, de formes et de rêves qu'il nous laisse.
Dernières Annonces
July 4, 2025
Exposition au centre culturel français de Kiel : du 17 septembre au 9 novembre 2025, en partenariat avec l’Institut français de Kiel : habitants du nord, voyageurs de passage, amateurs d’images et de peinture, venez découvrir les aquarelles du peintre Claude Henri Schmitt.
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May 2, 2023
Après la rétrospective des Paraiges au stade Saint-Symphorien de Metz, la Brasserie "Le 11" a le plaisir de vous présenter des tableaux réalisés au tournant des années 2000 par l'artiste peintre originaire de la région de St Avold, Claude Henri Schmitt (1935-2021). Jusqu'en juillet 2025.
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V
July 7, 2025
Exposition au centre culturel français de Kiel : du 17 septembre au 9 novembre 2025, en partenariat avec l’Institut français de Kiel : habitants du nord, voyageurs de passage, amateurs d’images et de peinture, venez découvrir les aquarelles du peintre Claude Henri Schmitt.
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August 1, 2024
L'été 2024 était celui d'une très belle exposition thématique de CHS à Mirecourt, à la Grange à sons : "Peindre la musique". Tout au long de l'exposition, qui a été malheureusement écourtée par l'inondation due au Madon, des musiciens jouaient parmi les tableaux et les aquarelles. Découvrez le catalogue de l'exposition en cliquant sur l'affiche.
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August 21, 2023
Depuis la première exposition organisée par l'association CHS en 2021, peu après le décès du peintre, jusqu'à la grande exposition de Mirecourt 2024 justement intitulée "Peindre la musique", de multiples performances musicales ont accompagné les toiles et leur rencontre avec le public.
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August 17, 2023
Le portrait d’un oiseau : MARIONNETTE/THEÂTRE Karin Schmitt,marionnettiste et fille de CHS,présente son spectacle Le portrait d’un oiseau, portrait tendre et sensible de l’artiste à la fin de sa vie, alors qu’il est déjà atteint de la maladie neuro-dégénérative qui l’emportera en 2021. Jouant sur le contraste entre la fragilité de l’homme malade et la force saisissante de ses tableaux, elle livre un spectacle boule-versant d’empathie et d’humanité qui, au-delà de son caractère autobiographique, touche à l’universel.
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July 13, 2023
L'été 2023 fut marqué par une belle rétrospective consacrée à CHS au palais des Congrès de Vittel, sous l'angle de la couleur.
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August 31, 2022
L'atelier de CHS s'est ouvert au public, par une belle journée d'été. Dans la petite soupente exiguë, aux centaines de toiles, on découvre l'ambiance de la création, parmi la famille, les amis du peintre, et les visiteurs émerveillés par l'authenticité inspirante du lieu.
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August 21, 2022
"Une fois dans l'atelier, le silence n'est troublé que par de drôles de grattements, comme d'un petit rongeur, par la cisaille du ciseau, les coups de cutter, le feulement furtif de la gouge, la poussée du pinceau. On pourrait y entendre des picotements de clous ou d’agrafes, des frottements de toile, d’étoffe, des jeux de jute et des crissements de cadres, et puis comme des bruits d’effort, de pression, et peut-être la succion d’une surface adhérente qu’on décolle, qui se recolle, et puis il y a aussi les pas du peintre qui viennent étoiler la vitre du silence, et les pas timides, curieux, impatients de celui qui approche toujours de l'atelier en montant l'escalier qui craque de toutes ses vertèbres, vers l'appentis et son trésor de toiles, et s'arrête au seuil, perplexe devant la devise fièrement placardée par l'artiste sur la fluette porte blanche : « Alles Quatsch ! » (« n'importe quoi ! »), en allemand dans le texte." DJG
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August 23, 2012
"Allez viens, on joue !..." Mon père a tenu à ce que ses trois enfants apprennent un instrument de musique. S’il s’agissait sans doute à l’origine du désir d’offrir à ses enfants le luxe d’une éducation musicale qu’il n’avait pas eue, le but éducatif de cette entreprise s’est très vite effacé au profit de purs moments de bonheur partagés.(Karin Schmitt). Photographie prise à Sasen (Allemagne du nord) dans les années 2010
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December 30, 2005
Claude a peu exposé, et souvent autour de chez lui (à part les expositions de Stockholm, Bonn, Paris ou Nancy, qui font figure d'exceptions). "L'hommage à Georges de la Tour" (1983) mentionné dans cet article devait avoir par la suite un destin singulier : intégré à l'artothèque des collections départementales en 2022, il intègre ensuite la section sur l'influence de Georges de la Tour sur l'art contemporain du musée Georges de la Tour de Vic-sur-Seille.
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February 8, 1995
"L’instrument qui m’était échu, c’était le violon. Si je n’ai jamais été très assidue à l’exercice des études d’O.Ševčik et que mes professeurs me reprochaient de mal tenir mon instrument, j’ai toujours adoré jouer avec mon père. Lorsque nous jouions ensemble, il n’y avait jamais de place pour la critique, nous ignorions allègrement les fausses notes, les erreurs de rythme, nous simplifiions, nous adaptions, nous étions complices et nous nous amusions. Quand, adulte, je revenais à la maison de mes parents, j’apportais mon violon ; les retrouvailles étaient toujours ponctuées de moments musicaux partagés. « Allez, viens, on joue ! » et l’instrument qui avait somnolé dans sa boîte se remettait, après quelques toussotements préliminaires, à chanter. Alors je me sentais submergée par quelque chose de chaud et de joyeux qui est peut-être ce que l’on appelle le bonheur de la musique." Karin Schmitt
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December 20, 1990
Cet entretien exceptionnel nous dévoile un artiste engagé dans son art, comme une tranche de la vie d'un peintre. On y voit Claude commenter son tableau représentant les quatre hommes d'affaires, exemple saisissant de sa veine satirique discrète mais bien présente dans l'oeuvre. Au fil de l'entretien, c'est toute une éthique de l'artiste qui se dégage : un être cultivé mais possédant un vrai savoir-faire plus qu'un savoir, qui recopie pour trouver sa voie, mais détourne et dévie volontiers des sentiers battus, jusqu'à créer le malaise, le questionnement. "Dans la couleur, je sens ma liberté" : quelle plus belle définition de la peinture de CHS ?
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